Témoignage

Cécile, chargée d’études quantitatives chez Stratégir

La corrélation entre les compétences que l’on acquiert en choisissant la spécialisation en science des données et les attentes des entreprises est très forte !

Cécile

Au moment de choisir une spécialisation en fin de mon cursus d'ingénieur en agroalimentaire, je ne savais pas quelle modalité donner aux différentes variables de ma vie professionnelle, notamment parce que plusieurs domaines m’intéressaient : le marketing et l’analyse sensorielle. Alors j’ai choisi la spécialisation sciences des données parce que c’est celle qui selon moi offre le domaine expérimental le plus vaste et c’est aussi un excellent complément à la formation d'ingénieur que l’on a suivie les années précédentes.

Evidemment, il faut tout de même aimer les chiffres et l’analyse des données avant de s’orienter dans cette voie car on y manie des formules et des concepts mathématiques. Mais les nombreux TD permettent de surmonter les difficultés et de s’approprier les notions théoriques.  Le TIRAC, projet de groupe que l’on mène en autonomie, permet lui aussi de mettre en pratique les enseignements et de s’entraîner à répondre à des problématiques industrielles. Nous avions choisi par exemple d’étudier l’influence de la marque sur l’appréciation de confitures.

C’est la combinaison originale entre mes connaissances de l’agroalimentaire et des techniques statistiques utilisées pour la réalisation d’études de marché (Plan d’expériences, AFC, ACP, cartographie, traitement d’enquêtes, analyse textuelle) qui m’a permis d’être embauchée en tant que chargée d’études quantitatives chez Stratégir.

La corrélation entre les compétences que l’on acquiert en choisissant cette spécialité et les attentes des entreprises est très forte !